Quand le corps se tend, c’est souvent que la tête tourne trop vite.
Chez l’adulte, la psychomotricité devient un espace pour ralentir sans s’éteindre, pour comprendre ce que le corps dit quand les mots se bousculent.
Fatigue, hyper-contrôle, anxiété, procrastination ou besoin constant de stimulation : chaque symptôme parle d’un rythme intérieur désaccordé.
À travers le mouvement, la respiration et la conscience corporelle, on travaille à réaccorder le corps et la tête, à retrouver du calme dans l’action et du sens dans l’effort.
La séance devient un entraînement à la présence, une manière concrète de ré-habiter son attention.
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Parce qu’à force de tout gérer avec la tête, on finit par oublier qu’on a un corps.
La psychomotricité permet de reconnecter avec ses sensations, d’apprendre à écouter avant d’agir.
C’est un accompagnement qui parle autant à ceux qui s’épuisent qu’à ceux qui n’arrivent plus à se mettre en mouvement.
Un travail où le corps redevient un repère fiable, capable de calmer l’esprit et de restaurer la confiance.
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Parce qu’entre comprendre et ressentir, il y a le corps.
Chaque accompagnement psychomoteur commence par une rencontre.
On prend le temps d’observer, d’écouter, de ressentir ce que le corps exprime — sans jugement, sans précipitation.
À partir de là , on établit un bilan psychomoteur pour tracer une direction claire : comprendre le fonctionnement, repérer les besoins, définir ensemble le rythme des séances.
Selon le profil, le travail peut s’appuyer sur le profil sensoriel, la guidance Barkley, des outils corporels, ou encore les groupes judo parent/enfant.
Chaque parcours est unique : il s’adapte à la personne, à son énergie, à ses ressources.
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