Grandir, c’est apprendre à apprivoiser son corps, ses émotions et son énergie.
Certains enfants bougent sans cesse, d’autres n’osent plus bouger du tout.
Il y a ceux qui se dispersent, ceux qui s’enferment, ceux qui s’effondrent quand le monde devient trop bruyant.
La psychomotricité aide à remettre du lien entre ce qu’ils ressentent et ce qu’ils font : bouger pour se calmer, respirer pour se concentrer, créer pour s’exprimer.
Chaque séance devient un espace pour comprendre son propre rythme et retrouver le plaisir d’agir.
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Quand un enfant grandit différemment, c’est tout l’équilibre familial qui apprend à danser autrement.
L’accompagnement psychomoteur ne s’arrête pas à la salle de séance : il continue à la maison, dans les routines, les gestes et les mots du quotidien.
Les séances parentales permettent de comprendre le fonctionnement de l’enfant, d’adapter les attentes et de retrouver un climat plus serein.
Apprendre à réguler son propre rythme, c’est aussi aider son enfant à réguler le sien.
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Parce qu’entre comprendre et ressentir, il y a le corps.
Chaque accompagnement psychomoteur commence par une rencontre.
On prend le temps d’observer, d’écouter, de ressentir ce que le corps exprime — sans jugement, sans précipitation.
À partir de là , on établit un bilan psychomoteur pour tracer une direction claire : comprendre le fonctionnement, repérer les besoins, définir ensemble le rythme des séances.
Selon le profil, le travail peut s’appuyer sur le profil sensoriel, la guidance Barkley, des outils corporels, ou encore les groupes judo parent/enfant.
Chaque parcours est unique : il s’adapte à la personne, à son énergie, à ses ressources.
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